Mercredi 6 septembre 2017
Le Cégep de Trois-Rivières et l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) annoncent la mise en place d’une nouvelle passerelle en génie mécanique à compter de l’automne 2017.
Cette passerelle permettra aux diplômés en Techniques de génie mécanique du Cégep de Trois-Rivières de se voir reconnaitre jusqu’à cinq cours lors de leur inscription au Baccalauréat en génie mécanique (et sa concentration en génie mécatronique) de l’UQTR. Ils pourront ainsi réduire la durée de leurs études universitaires et arriver plus rapidement sur le marché du travail.
« Avec cette entente, les étudiants et étudiantes bénéficieront d’une formation axée sur la continuité des apprentissages qui tiendra compte des compétences acquises lors de leurs études collégiales. C’est aussi une belle reconnaissance de la qualité de la formation offerte au Cégep de Trois-Rivières », mentionne le directeur des études du Cégep de Trois-Rivières, M. Denis Rousseau.
« Nous sommes très heureux de nous associer au Cégep de Trois-Rivières afin d’ouvrir encore plus grande la porte vers l’université aux finissants collégiaux en génie mécanique. Cette passerelle permettra d’optimiser la formation des étudiants et de les mener encore plus efficacement vers la profession d’ingénieur. Elle contribuera également à resserrer encore davantage les liens entre nos programmes et ceux du Cégep de Trois-Rivières », de commenter M. François Gauthier, directeur de l’École d’ingénierie de l’UQTR.
Pour pouvoir bénéficier de cette passerelle, les étudiants devront avoir obtenu leur diplôme collégial dans les dix années précédant leur admission au baccalauréat.
Cette nouvelle entente renforce un partenariat déjà bien établi entre le Cégep de Trois-Rivières et l’UQTR. D’autres ententes de passerelles et de DEC-BAC sont également en vigueur entre les deux établissements, notamment en génie industriel, soins infirmiers, logistique, comptabilité, marketing et informatique.
Cette annonce constitue également une bonne nouvelle pour les employeurs de la région qui auront accès à des diplômés doublement qualifiés. « Nous privilégions l’embauche d’ingénieurs et d’ingénieures ayant une formation technique puisque les connaissances acquises durant cette formation mènent à une fine compréhension des méthodes de fabrication et ainsi, une meilleure conception », affirme M. Jean-Philippe Gervais, chargé de projet au Groupe Jenik.