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Mardi 25 mai 2021

Chaque année, les étudiantes et étudiants en Travail social du Cégep de Trois-Rivières réalisent des projets au sein de leur communauté dans le cadre du cours Intervention collective. Pandémie oblige, ils ont dû trouver une nouvelle façon de faire la différence et ont choisi de sensibiliser la population par le biais, notamment, d’une affiche informative. Deux sujets ont retenu l’attention des étudiants : l’achat local et la réalité des familles monoparentales.

Affiche réalité parent monoparentalLa réalité des familles monoparentalesHoraire parent monoparental

L’un des groupes d’étudiants s’est donné pour objectif de sensibiliser la population à l’épuisement des parents monoparentaux et de nous aider à mieux saisir leur réalité.

Pour représenter l’horaire quotidien chargé des parents monoparentaux, les étudiants ont réalisé un calendrier typique afin de conscientiser la communauté aux difficultés vécues par ces familles.  Par une série de questionnements, les étudiants interpellent le secteur en le faisant réaliser que le quotidien d’un parent monoparental n’est pas évident à gérer.

 

 

 

Sensibilisation à l’achat local en Mauricie

Après avoir fait des sondages et des entrevues auprès de la population de la région, les étudiants ont conclu qu’il y avait peu de connaissances sur l’achat local et les produits locaux. À peine 25% des personnes sondées ont dit faire de l’achat local au moins une fois/semaine.  Les étudiants ont décidé de bâtir une infographie relevant quelques mythes et réalités sur l’achat local ainsi que les impacts positifs de ce geste. Ils la diffuseront sur les médias sociaux et dans certains commerces de la région.

Ces étudiants espèrent que davantage de citoyens et de citoyennes vont réaliser les nombreux impacts positifs d’encourager les commerçants et les producteurs locaux et que cela contribuera, par le fait même, à une revitalisation économique et sociale de notre région.

« À titre d’étudiant en Travail social, c’est important pour nous de participer à comprendre notre monde et à travailler à son amélioration. Il y a beaucoup à faire, mais il faut bien commencer par un premier geste » affirme l’étudiante Alexann Beauséjour.


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