La Francofête, pour célébrer le plaisir de vivre en français

C’est une dictée colorée qui a été livrée aux amoureux de la langue française le 22 mars dernier, dans le cadre de la Francofête. Stéphane Boivin et Jean-François Morissette signaient la dictée, en s’inspirant du thème de la Francofête 2012 : Pour la volonté et le plaisir de vivre en français. Les deux enseignants n’ont pas eu peur de puiser dans le riche terreau des expressions québécoises afin d’offrir aux 25 participants un texte joyeux, vif… et quelque peu ratoureux! Jugez-en par vous-même en lisant le texte original, bonifié des commentaires de l’animatrice linguistique Colette Ruest.

Lue par le directeur général du cégep, M. Raymond-Robert Tremblay, la dictée constituait un amical défi linguistique. En plus de partager le plaisir des mots, les participants couraient la chance de remporter de beaux prix, grâce aux commanditaires de l’évènement : la librairie Coopsco, la direction des Services aux étudiants, la direction des études et la Fondation du Cégep de Trois-Rivières. Voici les gagnants :

PRIX D’EXCELLENCE, catégorie ÉLÈVES

1er prix : Stéphane Frigon, étudiant en Sciences de la nature et ex-aidant au CARL
2e prix : Sarah Demers, étudiante au LAC

PRIX D’EXCELLENCE, catégorie MEMBRES DU PERSONNEL

1er prix ex aequo : Geneviève Bouffard, conseillère au Service des communications et Johanne Dufour, agente de bureau au CARL-CAM

PRIX DE LA MEILLEURE ÉQUIPE

Philippe Charland-Coulombe, étudiant en Sciences de la nature et Sébastien St-Pierre-Robert, étudiant en Technologie de l’architecture

Prix de participation

Maude Longval, étudiante au LAC
Philippe Charland-Coulombe, étudiant en Sciences de la nature
Nicolas Juneau, étudiant en Techniques de la documentation
François Fleurent, étudiant au LAC et aidant au CARL
Jean Proulx, directeur adjoint à la DASPR
Johanne Julien, enseignante en chimie

Lors de la cérémonie de remise de prix, l’organisatrice a remercié les commanditaires ainsi que Stéphane Boivin et Jean-François Morissette : « Nous pouvons dire que ces deux jeunes professeurs de littérature et communication ont bien rempli leur mandat. Ils aiment la langue d’ici et ils nous ont invités à en être fiers. La tête en gigue, la plume en bourrasque et le cœur attaché à nos racines avec de la broche à foin légendaire, ils ont empoigné leur plume avec vigueur et humour. De leur propos coloré et barbu, retenons l’essentiel : assumons les particularités de la parlure québécoise tout en portant le casque protecteur du français parce qu’aucun coup porté à la tête n’atteint son but… quand le joueur patine la tête haute. »